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23 mai 2016 1 23 /05 /mai /2016 19:38
Rebrab-Khelil, ce n'est ni un règlement de comptes entre arabes et kabyles ni une guerre entre les Zenata et les Sanhadja.

Par Saïd Radjef.Le 23 mai 2016

Rebrab est un bandit pour qui être kabyle, arabe, Zenata ou Sanhadja ne signifie absolument rien...Il en est de même pour Khelil...Tout ce qui les intéresse, c'est comment piller la République...

Le cartel algérien, au delà de la grande discrétion qui l'entoure et la puissance dont il dispose, n'est pas pour autant organisé et homogène. Et il était à prévoir qu’il montrerait toutes ses faiblesses, toute son ignorance.

Ce n’était qu’une question de temps. Il a ainsi transformé par l'imbrication de circuits au sein de la presse et de la classe politique l'affaire Rebrab en règlements de compte entre kabyles et arabes, l'affaire Khelil en guerre entre les Zenata et les Sanhadja...

Ils nous pillent et ils titillent nos fibres sensibles...Ils ne savent pas a quel point ils mettent en danger le pays...

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22 mai 2016 7 22 /05 /mai /2016 11:40
Pourquoi les Algériens sont citoyens lorsqu'il s'agit du foot et voyous lorsqu'il s'agit de militance et de politique?

Par Saïd Radjef. Le 22 mai 2016
Questions à Mohamed Jebara et Ouas Ziani.

Les Algériens ont-ils une autre définition de la politique, de la militance et de l'histoire que celle universellement établie? J'avoue que le sujet me donne des vertiges...
A l'occasion des portes ouvertes organisées par la gendarmerie à Tizi ouzou, j'ai assisté à quelques conversations et autres débats chauds entrecitoyens qui ne sont ni des professionnels ni...Sur la JSK, Hannachi, le MCA ,l'EN, Mehraz, Zidane et le futur entraineur national, les conversations étaient longues, dépassionnées avec un haut degré de connaissances, avec des analyses et des réflexions que seuls les spécialistes formés dans les grandes universités peuvent avoir...J'ai noté également que ces conversations sportives les ont plus rapproché les uns des autres que divisé...
Plus loin, dans un autre stand, sur les sujets d'actualité, sur Rebrab, Saadani, le général Medienne, la maladie du président, la succession de Bouteflika, la réouverture des brigades de la gendarmerie, Al Khabar, Anis Rahmani, le FFS, le RCD...les conversations étaient très courtes, superficielles et pleines d'insultes et d'accusations...Aucun sujet politique n'a fait l'unanimité entre les visiteurs; à chaque bref échange, surgit soudainement un volcan d'insultes et d'accusations...Est ce là la façon des Algériens de militer et de faire de la politique? Quand il s'agit du foot, les gens font preuve d'une grande maturité citoyenne en donnant l'impression qu'ils exploitent toutes leurs capacités intellectuelles, mais lorsqu'il s'agit de questions importantes qui engagent le destin de la nation, du peuple, les gens deviennent bêtes, agressifs et contournent la conversation... Et malheureusement, on retrouve cette attitude à travers les réseaux sociaux...

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20 mai 2016 5 20 /05 /mai /2016 07:41
La montée des extrémismes en Algérie.

Par Cherif Ghezlaoui. Le 20 mai 2016

Il existe certains "Kabylistes" (séparatistes du MAK dans leur majorité) qui prêchent un discours haineux et raciste envers les autres composantes de la Nation algérienne ; comme il existe certains Algériens non Kabyles qui expriment un "antikabylisme " et une haine envers tout ce qui symbolise cette région, y compris envers les leaders révolutionnaires originaires de Kabylie, comme Ait Ahmed, Krim et Abane…etc.

Ces "Kabylistes" qui s’autoproclament démocrates et représentants de toute une région tout en refusant l’autre et ces "non-Kabyles" qui s’autoproclament patriotes zélés tout en versant leurs venins envers une partie de cette patrie (indivisible, aux bons entendeurs) sont-ils actionnés et propulsés par un même "laboratoire psychosocial " du système en vue d’empêcher toute alternative crédible d’émerger sur tout le territoire national ?

Pas important de confirmer ou d’infirmer ce questionnement tant que nous sommes convaincus que ces agissements régionalistes et ethniques sont un jeu dangereux qui porte atteinte à l’unité du pays et la cohésion sociale du peuple.

À noter que certains écrits d’une certaine presse francophone activent le mythe du "particularisme kabyle" incompatible avec les réalités sociologiques d’autres régions d’Algérie. À l’inverse, certains écrits d’une certaine presse arabophone et certaines émissions des TV offshores activent le mythe d’une "Kabylie anti-algérienne et islamophobe".

Ces jeux dangereux de régionalisme et de tribalisme qu’usent sans modération certains médias sans éthique et sans foi, et certains politicards pour des tactiques politiciennes malsaines, minoritaires certes, méritent d’êtres dénoncés, bannis et repoussés pacifiquement et avec tous les moyens réglementaires.

Ce pays d’un seul peuple, que certains veulent amener à des peuplades, d’une seule identité riche et diversifiée, que certains veulent transférer à plusieurs identités meurtrières et d’une richesse immense, que les oligarques et les forces compradores ont ruiné pour qu’il se guérisse de ces blessures mortelles, doit s’ouvrir le plus vite possible à un processus constituant , consensuel et sans exclusion, et ce, pour la refondation d’un projet national autour d’un État de droit, de toutes les libertés individuelles et collectives, une justice réellement indépendante et les pluralités politiques, syndicales, associatives, culturelles et linguistiques.

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18 mai 2016 3 18 /05 /mai /2016 19:21
RECONSTRUIRE LE CONSENSUS, CE N’EST PAS CAPITULER POUR LE SYSTÈME.

Sami Ait Larbi 18 mai 2014

Un mois après les élections présidentielles, la transition politique n’est pas réussie mais aussi la sortie du statu quo est loin d’être commencée pour la terminer.

La transition, si elle est décidée, doit se faire sans trop de heurts, mais le gouvernement actuel du système a-t-il réussi sa légitimité à l’intérieur et à l’extérieur? NON.

Les Algériens ne reconnaissent pas réellement l’adversaire principal à leur émancipation, à leur autodétermination ? Ils n’ont pas tranché la question. Aujourd’hui l’Algérie, un pays profondément divisé dans la réalité, qui tire sa légitimité en tant que pays indépendant depuis 1962, et ce, après une longue guerre de libération nationale. Aujourd’hui, hélas, il est bloqué.

Hocine Ait Ahmed a mis l’accent sur la nécessaire réconciliation. Les Algériens doivent se retrouver derrière leurs valeurs essentielles, celles qui les a réunies en bloc pour reconstruire une nouvelle Algérie en 1954 mais dont ils ont oublié le sens et la matrice.

Le risque d’explosion de violence n’est pas écarté. Le facteur interne joue donc bien un rôle important. Une sortie du statu quo est un long processus social et différencié. Ce n’est que plus tard que l’on prendra conscience que le conflit imposé aux Algériens a été autre chose qu’une guerre contre le terrorisme, ou un conflit entre nation.

Le système décide de renouer le fil ininterrompu de la continuité, même au prix d’un déni des réalités. Le FFS alerte sur les dangers du statu quo et la primordiale nécessité de reconstruire le consensus national. D’ailleurs, un grand observateur, en l’occurrence Mouloud Hamrouche, met en garde contre la pérennisation de cette situation.

SAMI AIT LARBI

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18 mai 2016 3 18 /05 /mai /2016 19:00
 Un mot aux généraux G Salah, Tartag, Nouba, Hamel et aux élites algériennes.

Par Saïd Radjef. Le 18 mai 2016

La presse algérienne entre populisme et prostitution.
L'ignorance et l'incompétence ne sont pas les seuls défauts de notre presse bien pensante. Des journalistes sachant à peine lire et écrire veulent entrainer le peuple dans la guerre des clans. Ils pensent que c'est là la mission que leur confèrent Dieu, le destin et la providence...
Depuis quelques jours des journalistes clonés dans les bunkers du DRS ne cessent de nous mettre en garde sur la présence du DRS dans nos assiettes, les abus de la gendarmerie et les partis pris de la police contre le peuple et les intérêts supérieurs du pays. Certains journaux ( des conglomérats d'indicateurs, de pédérastes, d'enfants de zouaves, de harkis, de bachaghas et de la cinquième colonne) le font avec une telle exaltation, un tel zèle que le citoyen crédule et naïf a fini par croire que surprendre un gendarme, un policier ou un agent des services secrets en flagrant délit d'abus d'autorité est un acte hautement patriotique qui donne droit à une place sur le podium du pouvoir...que le citoyen crédule et naïf a fini par croire que le gendarme, le policier et l'agent des services secrets sont les ennemis du peuple et non les représentants de l'ordre et de la loi...La prostitution de la presse au profit des clans qui se disputent la conquête du pouvoir a fait qu'aujourd'hui le citoyen pense que le militantisme et la citoyenneté se résument à faire la chasse au gendarme, au policier et à l'agent des services secrets...
Mais au lieu d'entretenir et d'alimenter cette crise de confiance, pourquoi la star de la presse écrite algérienne, en l'occurrence Salima Tlemçani, et tous les journalistes qui ne parlent que par postulats, ne posent pas cette question: avec la nature du régime qui est la même depuis le 1er novembre 1954 à ce jour, avec la lâcheté légendaire des élites politiques, intellectuelles et administratives, l'Algérie peut-elle se doter de gendarmes, de policiers et d'agents des services secrets exemplaires et sans le moindre reproche?

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16 mai 2016 1 16 /05 /mai /2016 18:03
La presse, Rebrab et Khelil, c'est du pareil au même.

Par Saïd Radjef. Le 16 mai 2016
Et la presse est plus pourrie que le reste. Le décor mal conçu et les acteurs sont de piètres comédiens. Dans la rue, les yeux et les oreilles du peuple sont si fatiguées par tant d'inepties et d'âneries...Des journaux tirailleurs et mercenaires qui prodiguent des leçons de démocratie...Décidément, on aura tout vu et entendu dans notre pays.
Belayet est vite hissé au rang de star politique non pas parce qu'il a un projet de société qui rassemble le peuple, mais parce qu'il est contre Amar Saadani? Et de quoi est coupable Amar Saadani? Il refuse de faire allégeance au général de corps d'armée Tewfik qui veut faire de Rebrab le successeur de Bouteflika! Et le suffrage universel dans tout cela, et la volonté populaire dans tout cela? La presse obéit à ses maitres pleins aux as et non aux règles de la démocratie!
La presse est pourrie de son ignorance et de sa vanité. Chaque fois qu'elle parle, elle nous fait aimer ce qu'elle dénonce. Elle nous parle comme si ce pays n'a pas d'oreilles pour entendre et des yeux pour voir, comme si notre pays ne connait pas l'Internet, le téléphone portable, twiter, facebook... Chaque jour notre presse s'enlise dans les profondeurs du populisme, dans des règlements de compte et dans le kohbisme le plus dégradant qui soit, alors que l'Algérie à la tête ailleurs, en train de réfléchir comment construire son avenir...

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12 mai 2016 4 12 /05 /mai /2016 18:49
Les élites entre Khelil, Rebrab, DRS, pizzerias, Mosquées et débits de boissons alcoolisés.

Par Saïd Radjef. Le 12 mai 2016.

Elles parlent à longueur de journée de Chekib Khelil comme si l'avenir du pays ne tenait qu'à cette personne. Elles parlent de Rebrab comme s'il était le nouveau prophète des temps modernes...Elles nous parlent des méfaits du terrorisme, de la corruption...mais elles ne disent rien des outils avec lesquels on doit les combattre...

De Ouadhias aux Issers, près d'un million d'âmes dont plus de 70% ont moins de trente ans, aucune bibliothèque, aucun théâtre, aucune vie culturelle et sportive comme si notre pays, notre jeunesse n'en ont plus besoin...La vie culturelle semble avoir disparu du lexique des médias Algériens.

Des journalistes sachant à peine lire et écrire nous somment quotidiennement de choisir entre Khelil et Rebrab, entre Bouteflika et le barbouzard Medienne, entre le bar et la Mosquée, entre la chichi des pizzerias et les barbus qui veulent nous replonger dans le moyen âge...

De Ouadhias aux Issers plus de sept cent Mosquées et Zaouïas, plus de trois cent soixante bars...Alors que les attentes en la matière ( vie culturelle), si nécessaire à l'épanouissement de la citoyenneté, se font largement auprès de la jeunesse, aucun cri d'alarme, aucune protestation, aucun écrit n'est venu dénoncer ou relater cette catastrophe...
Mais peut-on bâtir un projet social ambitieux, lutter contre le terrorisme, la corruption et autres fléaux en l'absence d'une vie culturelle et citoyenne?

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10 mai 2016 2 10 /05 /mai /2016 17:45
Je n'ai pas changé, c'est le monde qui a changé les règles du militantisme.

Par Saïd Radjef. Le 10 mai 2016.

Par delà les faux semblants, les dehors de notabilité et d'opposant irréversible, il y a la difficulté de l’individu à militer, à s’insérer dans un univers dont les valeurs dominantes sont le gangstérisme scientifique et médiatique, le pillage, le terrorisme, l’argent et le sexe... Le militant algérien dispose t-il de moyens pour comprendre et saisir la réalité des enjeux et l'ampleur des défis auxquelles fait face notre pays?

Quel est aujourd'hui dans les faits le rôle du militant? Qu'est ce que militer, est ce dénoncer les abus d'une autorité et réclamer des pendaisons aux poclins des dirigeants ou est ce dépassionner et guérir l'histoire de ses défaillances et de ses folies en envisageant l'avenir du pays ensemble? Qu'est ce que militer, est ce intenter des procès à l'ANP au moment ou notre pays fait l'objet de toutes les convoitises ou est ce poursuivre la construction des institutions sur de nouvelles bases et la formation d'élites ayant le sens des responsabilités morales et civiques? Quel est notre rôle? Ou est la vérité? Peut-on dessaisir l'ANP de tous ses pouvoirs et la renvoyer lutter contre sa propre aliénation, son propre désœuvrement dans la caserne au moment ou le pays est cerné par la jalousie criminelle des voisins, la nostalgie de nos maitres d'hier, la menace de Daesch et l'odieux chantage de groupuscules séparatistes?
Et si je vous disais que beaucoup sont dans l'opposition non pas pour éclairer le peuple, mais juste pour se protéger de leur passé douloureux et protéger leurs intérêts au sein du régime...au nom de l'Islam, des droits de l'homme, de la démocratie et de l'identité...

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8 mai 2016 7 08 /05 /mai /2016 11:46
Aux origines du 8 mai 1945

Par Saïd Radjef. Le 8 mai 2016
Les Américains fraîchement entrés en guerre (Seconde Guerre Mondiale) veulent annexer la France. Dés le débarquement en Afrique du Nord en 1942, sur ordre de F D Roosevelt ,ils diffusent largement la Charte de l’Atlantique pour montrer aux Algériens la capitulation, la faiblesse et l’humiliation de leur puissance colonisatrice. 1943, Messali, Ferhat Abbas et les oulémas, après une rencontre avec le fils du président des USA (Eliot Roosevelt) et le secrétaire d'Etat R Murphy, fondent les AML dont l’objectif fut la reconnaissance d’une nation Algérienne et l’obtention d’un gouvernement algérien souverain...tel que souhaité par l'Emir Abdelkader...1944, alors que le sort de l'Allemagne nazie était déjà scellé, Staline rencontre Messali à Cherchel. Roosevelt refuse l'idée d'une France libre et souveraine et cherche a la placer sous le tutorat Américain...Février 1945, alors que de la Crimée, les Accords de Yalta annonçaient la fin des empires coloniaux, les AML sous la direction de Messali et Ferhat Abbas recommandent le calme, la sérénité aux militants...Avril 1945, le troisième Reich capitule après la jonction entre la première armée Américaine et une division Soviétique en Allemagne. Les AML lancent à nouveau un Appel au calme...Cependant, selon les cadres du mouvement nationaliste de l'époque, de jeunes "loups" ont passé outre le mot d'ordre des AML en grillant la politesse à Messali, Abbas et les membres des Oulémas par un contre Appel dans lequel ils incitaient les populations à la manifestation...Doublement humiliée par l'Allemagne et Roosevelt, la France se vengea de façon génocidaire du peuple Algérien le 8 mai 1945...

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5 mai 2016 4 05 /05 /mai /2016 14:35
Rebrab et le mythe de l'opposant martyrisé.

Par Saïd Radjef. Le 5 mai 2016.
Même d'un niveau primaire, Rebrab sait sur quelle corde jouer pour écraser une république qui lui a accordé toutes les faveurs.

La triste dérive algérienne nous prend à nouveau en porte-à-faux. Pourtant l’unanimité médiatique est formelle : le méchant pouvoir agresse sauvagement et sournoisement la gentille opposition en fomentant artificiellement des complots visant à l'anéantir par l'exil, l'assassinat et le crime...L'exaltation du mythe de l'opposant martyrisé revient
Aujourd'hui, c'est Rebrab qui se voit dans la peau de l'opposant martyrisé. Lui qui s'est servi de l'ANP plus que les généraux, de l'administration plus que les ministres et les walis et du soutien du régime pour construire son empire financier, se voit désormais dans la peau du gentil opposant, du kabyle démocrate laïc , du civilisé qui milite pour la vérité, la justice, le savoir et l'égalité que le régime veut à tout prix décapiter.
Rebrab, pour avoir longtemps séjourné dans les hautes sphères du régime, a appris comment fonctionne la Kabylie. Il sait que le populisme et le mythe révolutionnaire ( le mythe de l'opposant martyrisé) sont profondément ancrés dans l'inconscient de cette région. Il sait que la Kabylie ne fonctionne pas avec intelligence; elle fonctionne avec le populisme, les mythes et la naïveté.
Malheureusement pour mon pays l'Algérie et ma région la Kabylie (surtout lorsque je parcours les écrits de nos universitaires), le mythe de l'opposant martyrisé est l’une des illusions les plus puissamment véhiculées par la mythologie collective.
Et pourtant, hormis Ait Ahmed et Krim Belkacem, on a du mal a trouver un autre opposant martyrisé en Kabylie!

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  • : L’école algérienne ne s’est pas attelée, en ce qui concerne l’enseignement de l’histoire, à la transmission du savoir. L’idéologisation de l’école l’a emporté sur les impératifs de la formation. Or, les concepteurs de ces programmes préfèrent envoyer leurs enfants dans des écoles occidentales. Du coup, la connaissance de l'histoire ne passe pas par l'école.
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  • Il est du devoir de chaque citoyen de s’intéresser à ce qui se passe dans son pays. C'est ce que je fais modestement.
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