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19 août 2016 5 19 /08 /août /2016 16:20
Pourquoi le un chat et demi du MAK fait la loi en Kabylie?

Par Said Radjef. Le 19 août 2016
Le MAK est un chahut d'un chat et demi de Kabyles qui ne représentent même pas leurs propres personnes. Mais il y a quelque chose de frappant dans l’inquiétude que répandent les agissements de ce chat et demi qui sans le moindre projet politique et sans l'adhésion de la région accaparent le paysage politique Kabyle.
Pourquoi le MAK avec son chat et demi d'ivrognes s'attaquent ils aux gendarmes, aux militaires et aux policiers? Comment le MAK et son chat et demi de cons peuvent-ils menacer l'armée, les services secrets, la gendarmerie, la police et tout ce qui respire au Djurdjura?
Pourquoi le MAK avec son chat et demi de chimériques parlent-ils au nom de toute la Kabylie?
Parce qu'en Kabylie il n'y plus d'autorité et de partis politiques. Le terrain est vide, totalement vide . Et comme chacun le sait, la nature a horreur du vide.
Ce n'est pas avec des élus cooptés à leur insu par les cercles obscurs du pouvoir que la vie politique reprendra son cours en Kabylie. Ce n'est pas non plus avec les fausses notabilités qui ont privatisé les partis politiques que les militants de villages vont renoncer à leur résignation…
La menace ne vient du MAK; elle vient de l'Etat et des partis politiques qui fuient sans arrêt leurs responsabilités historiques.

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17 août 2016 3 17 /08 /août /2016 18:10
Mme Benghebrit, l'école n'est ni une Mosquée ni un chantier de délinquance.

Par Saïd Radjef. Le 17 août 2016

Madame, nous sommes à la veille de la rentrée scolaire.

Comment expliquer qu'un enfant de 15 ans très brillant, si doux et si courtois, élevé au sein d'une famille modérée, puisse sombrer du jour au lendemain dans l'intégrisme, au point d'interdire avec violence à ses parents de regarder la télévision, de recevoir des invités, de faire des sorties sur les plages? Comment cet enfant nourri aux valeurs ancestrales s'est cloitré avec pour seul compagnon son livre du Coran dans sa chambre depuis plus de deux mois?
Le cas de cet enfant que je connais très bien m'a profondément secoué. Véritable espoir de son lycée, (primé à de nombreuses fois par les walis de Tizi) il a été détourné de ses études et de sa famille par son prof d'éducation religieuse…Est ce là le rôle de l'école Algérienne, Mme?
Mais le cas de cet enfant n'est pas le seul; d'autres parents m'ont fait part de leur calvaire au sujet de leurs enfants…
Je suis né et j'ai grandi au sein d'une Zaouïa. Nos parents nous ont toujours appris l'amour de la science et du savoir, le respect des parents et de la famille; ils nous ont toujours nourri à la sève de la tolérance, de l'ijtihad, de la solidarité, du dialogue et de l'ouverture…Et comme ça, tout seul, face au cas de cet enfant qui a bouleversé la vie de ses parents, je me pose cette question: cet Islam qui nous a tant bercés dans ses bras quand nous étions des enfants, a-t-il changé à ce point? L'Islam de notre enfance est-il capable d'une telle violence, de tels dégâts au sein de la famille et d'un tel formatage de la société?
Je sais, dès qu’on touche à l’Islam , la foule gronde et la colère grandit. Pas touche à l’Islam, pas question non plus de remettre en question cette religion…Nous naissons tous avec un potentiel de créativité et d'amour immense et il n'est dit nulle part à travers le Saint Coran de le saper, de le gâcher, de le saboter d'année en année parce que la priorité de l'Islam est ailleurs…L'Islam n'est pas un ensemble d'interdits avec lequel on formate l'enfant; l'Islam c'est le don de la créativité, c'est le savoir, c'est la science, c'est la conquête technologique, c'est l'art, c'est le talent, c'est la spontanéité intellectuelle…
Il est clair que cet enseignant d'éducation religieuse que l'Etat a formé et à qui il verse aujourd'hui, à chaque fin du mois, une paie se chiffrant à plus de six millions, est le premier ennemi de l'Islam, de l'école et de la République.
Les enfants délinquants.
LES enfants délinquants, l'Algérie en connaît, qui le contesterait ? Pas seulement des adolescents ou des jeunes quasi adultes, mais parfois de très jeunes enfants. L'école les a éjectés, ils cambriolent, ils rapinent et vandalisent chaque nuit leur entourage. Et d'ici peu, à l'âge adulte, il y aura parmi eux qui vont être des caids dans le crime organisé ou Emirs dans les organisations terroristes. Ce qui est fort probable.
La délinquance juvénile est une réalité en Algérie.
A chaque sortie, lors des opérations de démantèlement de réseaux de délinquants ou de bandes organisées, comme ce fut le cas au cours de ce mois à Assi Youcef, Tizi Ghennif, Drâa Ben Khedda, M'kira…les gendarmes présentent des jeunes de moins de 18 ans, fraichement renvoyés de l'école, devant les procureurs de la République près les tribunaux de la Kabylie. Les statistiques de la gendarmerie et de la BMPJ font peur, puisqu'elles donnent l'exacte mesure de la réalité de la délinquance juvénile dans notre pays.
Pour ainsi dire, l'enfant n'a pas tellement de choix: soit il devient fanatique en sombrant dans l'intégrisme religieux ; soit exclu de l'école, il devient un gangster, en attendant de se spécialiser dans une activité criminelle…

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13 août 2016 6 13 /08 /août /2016 12:31
L'Algérie a-t-elle encore besoin de ses corbeaux et de ses chuchoteurs?

Par Saïd Radjef. Le 13 août 2016.

Avec la nouvelle constitution et la restructuration des services secrets, l'Algérie a-t-elle encore besoin de ses corbeaux et de ses chuchoteurs? L'Algérie dont les adversaires (la haute finance internationale, la grosse industrie militaire et le sionisme) sont clairement identifiés, peut-elle encore se plier aux caprices de ses bataillons de délateurs et de fausses notabilités?

Le miroir aux alouettes.

Publiquement, ils dressent un réquisitoire accablant contre les institutions et l'Etat; en cachette, ils sont les rois de la fitna et de la délation…Ils, ce sont les corbeaux Algériens qui ont prospérer et construit des fortunes grâce à la délation.
Les corbeaux sont des oiseaux de mauvaises augure. On les reconnait tout de suite , à quelques signes qui ne trompent pas: vanité, arrogance et un patriotisme surdimensionné. Par une tradition qui remonte à la guerre de libération, ils pensent qu'ils sont les dépositaires de la démocratie. Ils croient que Dieu les a investis pour chasser celles et ceux qui refusent de se plier à l'ordre établi, en cette époque ou l'humanité a perdu tous ses repères.

Les fantômes du régime.

Longtemps, la question de la délation, sujet très douloureux, a été ignorée par les uns et les autres, au sein de l'intelligentsia Algérienne. La délation (lettres anonymes) s’était progressivement transformée pendant le règne du colonel Boukharouba en véritable système de pouvoir et de gouvernement. Instrument de connaissance de l’opinion et de contrôle de la population, la délation fut fortement encouragée par le régime de Boukharouba qui voyait partout les fantômes de Ben Bella, Krim, Khider, Boudiaf, Ait Ahmed, Debaghine, Ferhat Abbas, Cheikh Mehieddine…l'assaillir. A partir des années quatre vingt, dans le contexte d’un changement de philosophie sociale, restructuration des forces de la SM, le régime se dota de différents organes d’investigation et de répression disposant chacun d’un réseau d’informateurs stipendiés, chargés de surveiller et de dénoncer les opposants et les récalcitrants (souvent opérant seuls en électrons libres). Certaines catégories professionnelles furent, en outre, fortement incitées à apporter leur collaboration à ce travail d’information. À côté de cette délation organisée et sollicitée, les délations spontanées se multiplièrent. Des milliers de lettres, le plus souvent anonymes, furent adressées aux autorités pour dénoncer des comportements jugés « déviants ». Les délateurs agissaient par adhésion idéologique au régime aussi bien que par intérêt. Dès le début des années quatre vingt dix, la délation s’était enracinée dans la société Algérienne au point de n’épargner ni les milieux politiques clandestins (qui se déclaraient comme tels) , ni inversement les milieux proches du pouvoir…

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12 août 2016 5 12 /08 /août /2016 16:52
Celui qui a oublié se porterait bien... Nietzsche

Sami Ait Larbi , le 10/08/2016

Maître Benissad, ce militant infatigable des droits de l'homme, n'appartient pas à une certaine race d'intellectuels, qui énoncent parfois des propositions intéressantes, mais s'empressent de les renier ou de les dénaturer pour peu qu'apparaisse le moindre contradicteur.

Maître Benissad appartient à cette race de résistants et d'intellectuels justes et courageux quel que soit le prix à payer. Maître Benissad n'est pas un raciste, n'est pas un fasciste et ni pas un militariste.

A ce rythme où vont les choses, l’évocation de l'esclavagisme et des camps de concentration fera le bonheur d'une société traumatisée à outrance par la violence.

Elle est prête à tout dans un état de non droit où le régime s'en lave les mains. Et qu'importe si la vérité est ailleurs? Dans le contexte actuel, il est donc impossible de renverser la vapeur, de mettre un terme aux hypocrisies et aux lâchetés de toutes sortes, et de remettre, à leur vraie place, les gens, les situations et les choses.

Qui est capable de résister à cette décadence qui s’accélère chaque jour, et que rien, apparemment, ne semble pouvoir arrêter. Trop de mensonges, de déformations et de fabulations qui ont été écrites sur ce que l'on appelle aujourd'hui '' affaire Nihal'', cet ange assassiné. La justice doit faire son travail et le premier magistrat du pays doit et devra intervenir.

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10 août 2016 3 10 /08 /août /2016 10:53
Une propagande massive pro peine de mort très active

Sami Ait Larbi, le 09/08/2016

Sur les réseaux sociaux, ça peut être dangereux par les temps qui courent de porter une opinion contradictoire sur la peine de mort, gelée depuis 1993.

Il y a une propagande massive pro peine de mort très active en ce moment!! Ça rappelle les années de dictature, les talibans et les franquistes !!! Le président Bouteflika, premier magistrat du pays, doit et devra mettre un terme à cette hystérie collective.

Son opinion, il l'a déjà faite dans une tribune parlementaire européenne, il n'y a pas longtemps. La violence mine la société de bas en haut. La terreur s'installe dans nos foyers et personne n'est à l'abri.

Si vous me le permettez, monsieur le garde des sceaux de vous demander de mettre à notre disposition des balises électroniques qu'on mettra sur nos enfants en cas où ? Le président doit réagir.

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4 août 2016 4 04 /08 /août /2016 15:32
Le cas Nihal, la Kabylie et la couverture sécuritaire de la gendarmerie .

Par Saïd Radjef. Le 4 août 2016.
Après ce qui est arrivé à la jeune Nihal, la Kabylie veut marcher pour rétablir la peine de mort.
La Kabylie s'interroge et se demande si la couverture sécuritaire était totale au Djurdjura , est ce qu'elle aurait assisté en témoin désabusé, impuissant devant le supplice qu'a vécu la famille de Nihal, qu'a vécu la région des Ouacifs…La Kabylie se sent coupable de cette tragédie.
Face à la montée de la délinquance, la gendarmerie a consacré des moyens croissants, budgétaires, technologiques et humains en Kabylie. Mais cela reste insuffisant, car sur les soixante dix brigades territoriales possibles, seules trente sont opérationnelles, depuis le printemps noir de 2001. Dans les espaces ruraux et périurbains qui constituent la superficie globale du Djurdjura, les missions de sécurité publique sont insuffisantes. La gendarmerie à qui échoit en premier lieu cette mission ne dispose pas d'effectifs suffisants pour accomplir convenablement ses taches. Même si le gendarme travaille 18 heures par jour et qu'il est privé de ses permissions, il ne peut pas répondre à la demande sécuritaire des populations du Djurdjura. Le Djurdjura est un terrain vaste, escarpé et accidenté qui favorise l'activité criminelle en l'absence d'une véritable couverture sécuritaire…La Kabylie le sait. Un autre supplice, un hiatus…Elle s'en veut terriblement. Mais est ce que l'organisation d'une marche, le rétablissement de la peine de mort vont faire revenir Nihal à sa famille, laver l'affront subi par les populations rebelles des Ouacifs? Sans la totalité des brigades territoriales, sans effectifs, la gendarmerie peut-elle assurer la sécurité des biens et des personnes dans ce vaste territoire rural? La question est suspendue sur les lèvres de tous les comités de villages en Kabylie. Alors que les Ouacifs sont secoués par la disparition de leur fille, la région de Mkira oblige la gendarmerie à ouvrir sa brigade …

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2 août 2016 2 02 /08 /août /2016 18:57
La disparition de la petite Nihal pose la question sur l'abominable rapt d'enfants.

Par Saïd Radjef. Le 2 août 2016

Près de trois cents enfants ont disparus en Algérie depuis 2014 à ce jour. Sans compter les enlèvements de personnes adultes dont nous ignorons le nombre exact.
Certaines disparitions ont été médiatisées alors que d'autres sont passées inaperçues, sans que personne en sache quoi que ce soit…
L’implacable loi du marché ne connaît pas de limites. Puisqu’il existe, dans les cliniques et des hôpitaux d'ici et d'ailleurs une importante demande d’organes humains pour greffes et transplantations, pourquoi ne pas organiser l’offre ? De gré, par l’achat d’un rein, par exemple, à des miséreux, ou de force, par le rapt ou la fausse adoption d’enfants, revendus pour leurs organes sains… C’est à de telles abominations que s’emploient, en Kabylie et ailleurs à travers tout le pays, des réseaux criminels bénéficiant de complicités à des niveaux élevés de l'Etat qui fait semblant d'être en face de simples faits divers destinés à garnir la rubrique des chiens écrasés d'une presse encore plus débile que complice… La Kabylie est un immense marché parallèle; tout se vend et tout s'achète. Il suffit de mettre le prix et de savoir détecter la demande du moment.
Oui messieurs, nous sommes en présence de vrais pervers, de pervers d'un nouveau genre, de pervers protégés qui agissent au nom de l'Etat au lieu d'être internés dans des asiles psychiatriques.
Nihal à peine quatre ans, peut-elle disparaitre comme ça pendant plus de dix jours sans qu'elle soit retrouvée par la gendarmerie qui a mobilisé tous les effectifs de son groupement, qui a organisé des battues ininterrompues avec l'aide des populations locales depuis l'annonce de la disparition de la jeune fille?
L'enlèvement de Nihal est-il l'œuvre d'un détraqué isolé? Les gendarmes de la brigade des Ouacifs, la BMPJ et les comités de villages connaissent tous les pervers et détraqués de cette région. Le détraqué qui aurait enlevé puis décapité la jeune Nihal serait-il un étranger à la région? Dans ce cas, comment un détraqué isolé, étranger peut-il tourner en dérision autant de monde, d'abord les comités de villages et les partis locaux, et ensuite les gendarmes et la BMPJ qui connaissent parfaitement chaque poche de la Daira des Ouacifs?

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16 juillet 2016 6 16 /07 /juillet /2016 15:31
 Comment éviter le chaos programmé pour l’Algérie dans un ordre mondial chaotique

Par Sami Ait Larbi, le 14 juillet 2016

Dans cet ordre du monde, la diplomatie interne et externe du FFS décrypte les nouvelles tensions nationales et internationales, met en garde les patrons de ce pays, notre pays, et avise le peuple d’un danger imminent dont il ne sortira pas vainqueur.

Maintenant, il y a ceux qui croient en le FFS et ceux qui ne croient pas et c’est de leur droit. Le FFS avance, ses idées sont combattues par ses ex- enfants, une presse aux ordres (el watan, liberté, el khabar, pour ne citer que ses trois journaux), une télévision d’état, des chaines privées, l’UGTA , les partis de l’alliance et le pourvoyeur de fond de cette smala qui est cette dictature historique : la seul solution réside dans la négociation, le consensus national et enfin l’Assemblée constituante. Oui, la tactique, nous la maîtrisons et c’est notre métier, car en politique il faut être pragmatique.

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11 juillet 2016 1 11 /07 /juillet /2016 19:41
A propos de la réaction des Algériens après la défaite de la France face au Portugal.

Par Saïd Radjef. Le 11 juillet 2016

"L'Algérie nous à tuer"
Certains journalistes et universitaires Algériens semblent avoir une cervelle de moineau. Une cervelle qui ne se rappelle de rien…sauf lorsqu'il s'agit de baisser la culotte ou de se prosterner comme une salope devant son gigolo…
Depuis quelques années, les autorités Françaises n'ont qu'un seul souci: rattraper une majorité Française face à une extrême droite qui a pris de l'ampleur…De Khaled Khelkhal aux viols de Cologne en passant par Merah, Charlie Hebdo, le RER…(des attentats montés de toutes pièces par les services secrets), l'Algérie est utilisée comme bouc émissaire par la France dans des batailles électorales…Pourtant, le peuple Algérien est comme tous les peuples de la terre, il compte dans ses rangs des salauds, des criminels, des voleurs, des vertueux, des citoyens exemplaires, des intellectuels…
L'Algérie a beaucoup donné à la France; de Verdun aux trente glorieuses en passant par la mobilisation générale lors de la Seconde Guerre Mondiale, les Algériens ont payé le prix fort pour la liberté et la dignité du peuple Français…A ce propos, les Algériens savent ce que veut dire le mot liberté, le mot respect, le mot tolérance…
La France ne peut plus utiliser la communauté Algérienne et Maghrébine comme alibi ou bouc émissaire dans des auto attentats pour faire face à la crise et la montée spectaculaire des mouvements de l'extrême droite…
Les Algériens ont une fierté, une dignité. Ils ne sont pas nés terroristes. Leurs gènes ne sont pas structurés par la violence et la destruction.
Ils l'ont rappelé à la France à l'issue de sa défaite face à la modeste équipe du Portugal. Une action que je soutiens.

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5 juillet 2016 2 05 /07 /juillet /2016 19:51
Le sectarisme a ruiné le politique

Par Sami Ait Larbi, le 05 juillet 2016.

Qu'arrivera -t- il au cas où un clan quelconque imposerait à la nation une assemblée fantoche issue de la dernière loi électorale votée par tous les clans au pouvoir?

La situation du pays n’est guère bonne. Je ne dirais pas qu'elle est explosive, mais le mécontentement grandit à tous les niveaux, dans la fonction publique, chez les fonctionnaires, les travailleurs de tous les secteurs, les étudiants, les enseignants, les infirmiers, les médecins, les chômeurs, les journalistes, partout ça clignote, car le malaise est profond.

Les forces antidémocratiques composant le système politique algérien continuent de faire diversion à travers les réseaux sociaux, les télévisions privées, les journaux et les quelques hommes et femmes que le régime a mis en avant de la scène.

La politique du pire continue son chemin. Trouverait -elle une personne, une force politique pour la bloquer? Il faut attendre pour mieux voir. En tout cas, 54 ans, après l'indépendance de mon pays, le féodalisme du régime mine la nation, accroît les intrigues et les inégalités sociales.

Les militants restent sans une correcte analyse de la situation nationale globale, car les choses ne sont pas dites en face du peuple. Le débat est pathologiquement combattu par la seule minorité qui détient le pouvoir.

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