Par Saïd Radjef. La comédie du 11 septembre, lorsque les bushies ont tué leurs propres concitoyens pour assouvir la cupidité d'un groupuscule d'ultralibéraux déjantés, magnats du pétrole et du trafic d'armes international et justifier la guerre contre l’Irak, a dégonflé les attentats de Boston. Les medias occidentaux ne trouvent plus comment accréditer la thèse de l’attentat perpétré par les djihadistes et autres groupes radicaux islamistes. Ils disent que l’attentat de Boston n’a pas été revendiqué et toutes les pistes restent à explorer pour faire la lumière sur cet acte odieux. Les pauvres !
Si c’étaient les islamistes qui avaient commis les attentats du 11 septembre et de Boston, j’aurais écrit sans hésiter à la gloire des islamistes. A l’occasion, j’aurais écrit que les islamistes avec lesquels je ne partage pas la vision politique sont des hommes résolus et profondément engagés dans une noble entreprise contre la haute finance et le sionisme international. Il faut suivre leur démarche. Détruire la haute finance et le sionisme, c’est sauver l’avenir de l’humanité d’un abime certain ; c’est mettre un terme à la théorie du choc des civilisations vers laquelle nous poussent insidieusement les tenants du sionisme international. L’Islam n’est rien d’autre qu’une version actualisée du christianisme et du judaïsme. Mais nous savons tous que les islamistes, je veux dire les vrais, ceux qui ne sont pas à la solde de la CIA et de Tel Aviv, comme Ben Laden et ses complices, ne portent aucune responsabilité dans ces attentats. Dommage ! Car le chemin pour sauver l’humanité et lui garantir un avenir radieux passe inexorablement par la destruction des USA et de leur bras idéologique, le sionisme. Peu importe ce que peut penser de moi cet esclave d’Obama dans les ancêtres ont été affranchis par l’Islam et peu importe ce que pourraient penser de moi les imbéciles fervents adorateurs de la république laïquo-militaire algérienne.