L'Algérie est devenue le 51eme état des USA.
Tout comme l’Alaska, l’Algérie se trouve en dehors du territoire géographique des USA, à des milliers de kilomètres de la capitale de Thomas Jefferson et de George Washington. L’Algérie, en
raison du décalage horaire, fête la journée de l’indépendance le 5 juillet, alors qu’aux USA le jour de l’indépendance est fêté le 4 juillet. L’Algérie est indépendante depuis mai 1958,
c'est-à-dire depuis le retour de De Gaulle aux plus hautes destinées de la France, alors que les USA ont acquis leur indépendance des tuniques rouges en juillet 1776. D’ailleurs, les autorités
algériennes songent à célébrer leur indépendance un jour de mai, mais comme le pays est devenu un état à part entière des USA, ils ont gardé la date du 5 juillet. Il est inutile d’organiser des
élections. Une élection en Algérie, c’est de l’argent jeté par la fenêtre… En vérité, Bouteflika est un gouverneur nommé par Washington et le général Tewfik est le shérif du district Algérie.
Ce sont de véritables exemples de dévouement pour les dirigeants américains. De mémoire, les USA n’ont eu de serviteurs aussi dévoués et fideles comme Bouteflika et Tewfik. Pour les maitres de
l’OTAN, l’Algérie est meilleure que le Qatar. Les dirigeants algériens, contrairement à la monarchie Qatarie qui bombe le torse à tous les coups, sont discrets et savent servir avec
intelligence les maitres de la grosse industrie militaire et de la haute finance internationale. D’ailleurs, c’est grâce à l’ingéniosité et la ruse des dirigeants algériens que les américains
ont sorti de leur chapeau Ben Laden et organisé les attentats du 11 septembre qui leur ont permis de mettre la main sur les ¾ des réserves énergétiques mondiales.
L’Algérie n’est plus la sœur jumelle de Cuba. L’oncle Ho et Che ne sont qu’un mauvais souvenir des errements du passé. Comme le 1er novembre 1954. Comme nos parents terroristes qui ont combattu
la France. L’Algérie n’est plus pour le monde un exemple de terrorisme, de désobéissance contre les gendarmes de l’humanité, de luttes et de révolutions. C’est ailleurs que les peuples se
lèvent et se soulèvent contre la tyrannie. L’avenir de l’Occident est au Sud Algérie, c'est-à-dire au nord Mali. Les gens d’Ouargla, de Laghouat, de Djanet, de Tam, d’Ain Safra, d’Ain
Amenas…n’ont rien pigé. Ils ne savent pas ce qui est arrivé aux peuples indiens d’Amérique. L’espoir n’est plus dans l’Azawad, la rébellion politique et la désobéissance civile. L’espoir est
dans la résignation et l’acceptation du fait accompli. Le monde a changé de pole, de pratiques et de traditions. Les autorités algériennes l’ont bien compris. C’est qu’a dit Sellal aux gens du
Sud, sous le regard approbateur des élites…Alger ne peut rien pour les gens du Sud. Les prérogatives d’Alger s’arrêtent à Boussaâda, à quelques kilomètres de M’sila. Le Nord Mali, c'est-à-dire
le Sud algérien est la chasse gardée de l’OTAN. Et l’OTAN n’aime pas les luttes révolutionnaires là ou il y a du pétrole et de l’uranium. C’est qu’à dit Sellal aux hommes bleus du Sud. Les USA
sont sur le point de déclencher la guerre nucléaire contre l’Iran et la Corée… Les américains ont besoin de beaucoup de pétrole et d’uranium. Ils ont besoin de construire d’autres satellites
dans notre espace intersidéral pour surveiller l’univers et parer à toute attaque nucleaire.D’autant plus vrai que plus 25 000 ogives nucléaires se baladent sur nos têtes. Les cerveaux qui
n’ont pas été encore castrés par les réflexes conditionnés que favorise l’appareil révolutionnaire, peuvent avoir une idée réelle des problèmes qui flagellent aujourd’hui l’humanité tordue qui
refuse de se plier devant le diktat de l’OTAN: la démocratie est tolérée mais pas la liberté. Mais au fait que vaut la démocratie sans liberté ?