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15 janvier 2012 7 15 /01 /janvier /2012 16:03

imag11111111es.jpgLa convention, qui se tiendra le 11 février prochain, va décider de la participation ou non du FFS aux prochaines législatives. Bien que je ne sois pas en ce moment encarté, je saisis cette occasion, qui est offerte aux militants et sympathisants du FFS, afin d’intervenir directement sur le sujet. En tout cas, cela est d’une importance capitale pour des gens se trouvant à la périphérie du parti de donner leur avis. Cela dit, bien que le choix soit difficile à faire, je vais essayer, sans fard ni acrimonie, d’exprimer le fond de ma pensée. En effet, dans les pays qui respectent les règles démocratiques, une telle échéance doit susciter un engouement extraordinaire. Or, dans notre pays, le régime a toujours verrouillé –et continue de le faire –le champ politique. Est-ce qu’il est prêt à associer les Algériens à prendre part à la gestion de leurs affaires ? La réponse, si cela dépendait de lui, serait  bien entendu non. Quoi qu’il en soit, doit-on le laisser faire sans réagir ? Le combat, me semble-t-il, doit être l’engagement de chaque instant de tous ceux qui sont épris de la liberté et de la démocratie.

Quoi qu’il en soit, le FFS, et c’est pour cela que nous continuons à le soutenir indéfectiblement, a su accomplir cette mission de défense de ces principes universels. En tout cas, sa pression sur les pouvoirs publics le grandit dans le cœur des Algériens. Mais jusque-là, force est de constater que le régime, en répondant par la force à toutes les revendications des Algériens, s’est toujours maintenu. Il faut dire aussi que les enjeux, financiers notamment, sont colossaux pour qu’il fasse une place large aux Algériens. L’annulation des élections législatives en janvier 1992 ne s’inscrivait-elle pas dans cette logique. En effet, bien que le parti vainqueur n’ait pas été le chantre de la démocratie, il ne reste pas moins que la victoire du FIS, en dépit des dépassements signalés ça et là, fut incontestable. Celle-ci fut d’ailleurs une sanction infligée aux dirigeants ayant conduit le pays à la dérive.  

Cependant, dans cette épreuve, le FFS est sorti doublement grandi. D’une part, ses résultats furent honorables. D’autre part, il a montré sa constance dans le combat qu’il menait pour l’instauration d’une véritable démocratie en Algérie. En appelant à la poursuite du processus électoral, gagné par un parti qui faisait –et c’est le moins que l’on puisse dire –peur, Hocine Ait Ahmed a donné une leçon de maturité et de savoir-faire politiques. Cet épisode de l’hiver 1992 a révélé aussi le visage des faux démocrates. Quand ils disent « nous sommes pour l’instauration de la démocratie à condition que certains Algériens ne puissent pas participer au processus démocratique », le FFS déploie tous ses efforts pour que le pouvoir revienne au peuple. Et il est temps que ce peuple sorte du statut de mineur que lui impose le pouvoir.

Toutefois, pour revenir aux échéances à venir, le FFS doit être un élément incontournable. Car il est porteur d’un grand espoir. De toute façon, que ce soit la participation ou le boycott actif, il doit peser de tout son poids sur le processus. Et je suis sûr que les Algériens comprendront ces arguments. En ce qui me concerne, je préconise la participation. Bien entendu, elle ne doit pas intervenir à n’importe quel prix. Pour ce faire, il faut qu’au moins deux conditions soient réunies : la neutralité de l’administration et le respect des résultats des urnes. Tout compte fait, conscients de la crédibilité dont jouit le parti, les dirigeants feront, et j’en suis sûr, en sorte que ces garanties soient effectives.

Cependant, cette participation, selon mon humble avis, est motivée par plusieurs facteurs. D’une façon générale, ces élections vont être différentes de celles qui ont eu lieu depuis 1992. Car la donne a changé. Désormais, la totalité ou peu s’en faut des pays de l’Afrique du Nord, à l’exception de l’Algérie se trouvant du coup à la queue du peloton,  ont choisi leurs représentants aux assemblées du peuple. Partant, le contexte est tout bonnement nouveau. Par conséquent, cette évolution doit amener les acteurs politiques à revoir leur stratégie. À ce titre, le FFS ne peut pas déroger à la règle. Et il est capable de jouer un rôle prépondérant. En tout cas, le FFS a un rôle historique. Sans sa participation, le pouvoir ne donnera pas assez de garantie pour que le processus soit honnête. Dans les élections précédentes, on l’a vu, le régime octroyait des récompenses aux participants. Qui ne se rappelle pas de l’expression de Zeroual remerciant ces soi-disant concurrents de l’avoir accompagné à l’élection présidentielle du 15 novembre 1995.  

En outre, sa participation va susciter un intérêt grandissant chez les Algériens pour qu’ils reprennent goût à la politique.  Par ailleurs, bien qu’il soit difficile de tabler sur la victoire [j’entends par là être majoritaire au parlement], le FFS va consolider ses soubassements.  En ayant un nombre honorable de sièges,  ses futurs élus auront  indubitablement accès aux médias lourds afin de mieux diffuser les idées du FFS. Sur ce dernier point, on doit reconnaitre que le FFS a souffert énormément de l’exclusion médiatique. Pour étayer cette thèse, je donne un exemple.  Lorsque le secrétaire national, Ahmed Betatache, a participé à l’émission, en novembre dernier, en direct sur l’ENTV, les Algériens pouvaient aisément reconnaitre les vrais démocrates des gens animés par le souci de se pérenniser au pouvoir.

Finalement, le changement de la donne dans la région doit profiter à un véritable changement dans notre pays. Ceci est le combat du FFS. En tout cas, il est connu pour ce combat. C’est pour cela que le changement ne doit pas et ne peut pas intervenir sans le FFS. En somme, étant résident à l’étranger, je sais que le FFS jouit d’une crédibilité exemplaire chez les Algériens de toutes les régions. Et beaucoup  l’attendent à ce rendez-vous.

Le Havre, le 15 janvier 2012.

Ait Benali Boubekeur   

 

 

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K
Quel opprobre! Quelle honte!<br /> <br /> Lema-arabou-islamique a, dans sa villa cossue et somptueuse de Laussane achetée avec le Trésor de guerre du FLN, décidé de cautionner la dégueulasserie électorale de mai.<br /> <br /> C'est indigne et lâche! C'est crapuleux! Le fuyard et peureux a bien signé un "contrat secret" avec les Généraux! C'est dégueulasse! Indigne!
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K
Quel opprobre! Quelle honte!<br /> <br /> Lema-arabou-islamique a, dans sa villa cossue et somptueuse de Laussane achetée avec le Trésor de guerre du FLN, décidé de cautionner la dégueulasserie électorale de mai.<br /> <br /> C'est indigne et lâche! C'est crapuleux! Le fuyard et peureux a donc bel et bien signé un "contrat secret" avec les Généraux! C'est dégueulasse! Indigne!
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K
Commentaires:<br /> 1er mars 01:20, par Izem<br /> <br /> Helas il lui ont promis les fameux 19 sièges a l’Assemble et notre Da Lho est interessé par ces strapentins. Laisser le se faire envouter dans sa republique suisse faites de regions autonomes ,<br /> mais ne lui parler pas de Kabylie ou d’autonomie. Je ne sais pourquoi le FFS ne change pas de leader.. il seras bientot trop tard si ce n’est deja.<br /> <br /> 1er mars 02:43, par belaid<br /> <br /> le FFS est devenu comme le FLN, même pratique la seule différence ou zizi el ho se trompe c’est que la base militante du FFS sont ceux abandonnés a leur sort lors des intempérie et sont des kabyles<br /> dignes , zi el ho vas recevoir une raclaquer le 10 mai qu’il va emporter dans sa tombe je propose aux kabyles de chasser tout candidat qui va oser venir prêcher leurs baratins en Kabylie.<br /> <br /> <br /> 1er mars 11:34, par Lounes<br /> <br /> Qu’il participe ou qu’il ne participe pas ,il ne faut s’y fier à Ait Ahmed.Celui ci ne finit jamais le travail qu’il entame ,il change souvent de positions aux grès de ses peurs. Pendant qu’on<br /> fusillait les soldats de L’ANP à Lakhdaria pour avoir refusé de monter combattre en Kabylie ,lui il a préféré se rendre à Ben Bella de Ait Zellal ,prenant de court tous les combattants du FFS..<br /> <br /> Qu,il fasse ce qu’il veut il est libre<br /> <br /> <br /> 1er mars 15:43, par Amoqrane<br /> <br /> Quelle honte ! Quel opprobre ! Participer à la mascarade éléctorale de mai c’est cautionner le Régime militaro-mafieux.<br /> <br /> Grave, trés grave !<br /> <br /> Il faut dénoncer cette compromission avec les Gébnéraux mafieux.<br /> <br /> Fini, ce parti est foutu, fini !<br /> <br /> Aucune crédibilité !<br /> <br /> <br /> <br /> 1er mars 17:12, par Karim-06<br /> <br /> FFS = RND ça c’est une découverte qui vaut M=CE2 de Mer Albert Einstein !!!<br /> <br /> <br /> <br /> 1er mars 17:29, par hadjelaoui said<br /> <br /> Ghozali reproche à l’état de ne pas avoir retenu la leçon de l’expérience islamiste, et pense qu’il "est pire que le FIS dont les résultats s’il avait pris le pouvoir n’aurait pas été plus<br /> catastrophique que les résultats de la gestion de l’état" », ajoutant que "l’Etat est pire que le FIS…c’est un fait parce que la mauvaise situation qu’il a causé va nous amener à l’effondrement.<br /> Cela serait une grave erreure si le FFS dit oui au vote ! la Kabylie se souviendra toujours !
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K
Le FFS viole ses statuts et règlements en installant la commission de candidatures aux législatives avant que son conseil national l’eût décidé<br /> <br /> De Tizi-Ouzou, par Saïd Tissegouine<br /> <br /> Le Front des Forces Socialistes (FFS) viole ses statuts et règlements en installant la commission de candidatures avant que son conseil national l’eût décidé. En effet, selon les textes du parti,<br /> l’installation de la commission du choix et de la sélection des candidats à l’épreuve électorale relève de la compétence exclusive du Conseil National du parti.<br /> 01/02/2012 - 00:10 mis a jour le 01/03/2012 - 12:30 par Saïd Tissegouine, tamurt.info<br /> <br /> Et c’est cette même instance du parti qui est habilitée à décider de la participation ou non du FFS à une course électorale après avoir naturellement recueilli l’avis de la base militante. Or, il<br /> se trouve que le Conseil National du FFS n’a été convoqué à tenir son conseil que vendredi prochain, soit le 2 mars à Alger, pour se réunir à cet effet alors que la commission du choix de<br /> candidatures s’est déjà réunie il y a une semaine de cela.<br /> <br /> Il semble même que la liste des candidats aux législatives du dix mai a été finalisée. D’ailleurs, même deux noms parmi ces candidats sont parvenus à nos oreilles. L’autre point sur lequel «<br /> l’Etat-major » du plus vieux parti d’opposition a piétiné le propre terrain de son Conseil National est naturellement ce choix de participation.<br /> <br /> En effet, la « décision » de participation aurait été arrêtée il y a plusieurs mois de cela déjà. Aussi, il est à se demander pourquoi convoquer le Conseil National du parti pour étudier et se<br /> prononcer sur des questions qui sont déjà étudiées et tranchées ? Il se trouve dès lors en droit d’interpeller vendredi prochain son Secrétaire National à l’Information et à la Communication sur<br /> les raisons qui l’ont « poussé » à garder le secret. Cette interpellation serait des plus légitimes.<br /> <br /> Pourquoi effectivement le premier responsable à l’information et à la communication du FFS n’a pas tenu informé le Conseil National sur la décision de participation aux élections, arrêtée depuis<br /> très longtemps, et sur la liste de candidatures déjà confectionnée ? Lorsqu’on tient un poste aussi sensible que l’information et la communication, on connaît naturellement bien des choses.<br /> <br /> Pourquoi est-ce que les membres du Conseil National du FFS doivent attendre l’écrit de Tamurt. Info pour connaître les petits « secrets » de la maison FFS ? Ce que le commun des mortels sait, c’est<br /> que les détenteurs réels du pouvoir algérien ont supplié les responsables du FFS à faire participer leur parti à cette prochaine course électorale, car « c’est lui seul qui est capable de rivaliser<br /> avec la déferlante islamiste ». Ce que l’on ignorait en revanche, c’est cette petite politique de « clientélisme » menée en cachette à l’intérieur du parti.<br /> <br /> Pourquoi tenir à l’écart la base militante du parti qui avait pourtant à ses débuts une culture de transparence et une tradition démocratique ? La résurgence du clientélisme et l’ostracisme dont<br /> sont victimes des milliers de compétences et d’honnêtetés semblent à présent être érigés en règle absolue au sein du FFS. Les Fédérations du parti semblent être mises aujourd’hui devant le fait<br /> accompli. Toutefois, c’est la base militante du parti qui risque de subir cette fois-ci encore le plus grand choc. Après avoir durant des années bénéficié d’un enseignement sur la culture et la<br /> pratique de la démocratie et des valeurs sociales authentiques, la voilà cette même famille militante qui découvre à ses dépens le mensonge. Bien sûr, le tout n’est pas encore joué au sein du parti<br /> de Hocine Aît-Ahmed. Les tenants de la politique clientéliste et les partisans du siège de l’APN contre le salaire peuvent encore se retrouver non seulement sur le banc des accusés mais aussi<br /> surtout sur le banc des condamnés.<br /> <br /> En effet, selon des échos qui nous sont parvenus de la réunion du conseil fédéral de Tizi-Ouzou, tenue hier, il est question d’exiger « la non participation à la course électorale des membres de la<br /> commission du choix et la sélection de la candidature ». Il reste à savoir si d’autres Fédérations du parti comptent emboîter le pas à leur consœur de Tizi-Ouzou. Il est même possible que la base<br /> militante du parti réussisse à exiger de ses responsable l’application stricte de ses choix opérés depuis belles lurettes déjà ; à savoir le rejet ou à défaut le boycott de ce rendez-vous<br /> électoral.<br /> <br /> En effet, dans ses calculs, la base militante du FFS est arrivée à conclure que le pouvoir d’Alger cherche entraîner son parti dans sa chute. Dans l’affrontement aux conséquences incertaines entre<br /> le pouvoir et la mouvance islamiste, il n’y a pas du tout lieu de salir l’image du FFS. Et d’autant plus que quelle que soit l’issue de la partie de bras de fer entre les deux belligérants<br /> (islamistes et pourvoir), la Kabylie ne s’en sortira que perdante. En somme, en ce qui concerne la Kabylie, seule son autodétermination peut être garante de sa sécurité et de sa prospérité . Il se<br /> trouve justement que la vaillante et éclairée base militante du FFS le sait depuis longtemps.
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Y
Les élections de mai sont pipées et piégées d’avance : les fraudes, les menaces, les pressions et entorses diverses seront au rendez-vous : des pratiques « inhérentes au système militaro-mafieux »,<br /> des us et coutume du Régime militaire depuis 1962. Y participer, revient à voter non pas pour le changement radical dont le pays a urgemment besoin, mais plutôt, en faveur du statu quo,<br /> c’est-à-dire de la stagnation, du blocage, de l’asphyxie qui prévalent depuis cinq décennies. Le boycott est une exigence du bon sens, du patriotisme, de l’attachement au véritable changement … Le<br /> Régime militaro-mafieux continue de leurrer, tromper et induire en erreur. Le but est de reporter et repousser à jamais la « fronde révolutionnaire » qui doit s’amarrer au mouvement en cours chez<br /> nos voisins…Le Pouvoir illégitime est en quête désespérée pour un minimum de crédibilité sur la scène internationale, il trouvera dans la participation de l’Opposition aux prochaines mascarades<br /> électorales une planche de salut inespérée. Quelque soient les pressions internationales, vu l’état de désillusion de la majorité de la population, le FFS commettra une erreur monumentale s’il<br /> participe à cette énième supercherie. Ce Régime criminel est installé par la violence (force), pratique la violence, manipule la violence, vit avec la violence, ne dépérira que par la force de la<br /> révolution populaire, pacifique, comme en Tunisie, Égypte… « Faut pas rêver » : rien n’est possible tant que le Régime militaire est là. Il suffit de suivre ce qui se passe en Egypte, ce pays où le<br /> Commandement / la Junte militaire persiste absolument à demeurer au pouvoir absolu, « inféodée» aux États-Unis impérialistes et l’État d’Israël colonialiste…En Algérie, comme en Égypte, nous avons<br /> affaire à des Régimes autoritaires qui reposent sur un trépied : la Police politique, le Commandement militaire et les Clans rivaux / unis contre le peuple, et qui ne cèderont que par un «rapport<br /> de force politique» puissant, un rapport de force qui provoquera leur «défaite politique» (et non militaire) induite par une « pression intérieure accrue » (révolution) conjugué à une «pression<br /> extérieure accrue» (diaspora, communauté internationale)…. Les dirigeants du FFS ne doivent pas nous décevoir, ils doivent dire clairement leur refus de verser dans l’opprobre et la honte, éviter<br /> la chute finale. Car s’ils persistent dans la «stratégie participationniste», ce serait leur fin, la dernière des dernières… La communication de certains dirigeants du FFS est ambiguë, obscure,<br /> illisible. Ils donnent l’impression de pencher vers la participation de certains partis aux prochaines mascarades électorales. Ce serait grave et pour l’Opposition, et pour ce qui reste de<br /> l’Opposition oppositionnelle, et pour le pays tout entier… L’Opposition, le FFS en particulier, doit boycotter, c’est de son intérêt ! Si elle participera à la prochaine mascarade, ce serait fini,<br /> une fois pour toutes ! L’Opposition oppositionnelle doit sommer les dirigeants Du FFS, les avertir, les mettre en garde sévèrement, fermement… Ces dirigeants doivent renouer avec une attitude<br /> d’Opposition oppositionnelle ! Un positionnement radical, direct et frontal contre le Régime militaro-mafieux et ses alliés «les extrémistes de tous bords»…Sinon, ce sera sa fin, leur fin! Une<br /> «Lettre ouverte» doit être adressée aux Directions de ces partis, ils doivent être sommés, mis en garde, avertis. Car ce serait grave pour le pays, pour l’Opposition, pour ces partis… C’est le<br /> Régime criminel et ses alliés objectifs qui gagneraient par cette éventuelle caution d’une partie de l’Opposition, le FFS notamment… On aura alors le «TOUS POURRIS» intégralement. Et c’est la «voie<br /> ouverte vers l’extrémisme, l’absolutisme», et la catastrophe totale….. La dernière chance pour le FFS, c’est le boycott, le refus ferme et catégorique des prochanes supercheries électorales. Il<br /> doit s’approcher des mouvements del’Opposition oppositionnelle pour une »action commune, unitaire, unioniste », et développer une ligne plus ferme, radicale, directe. Produire un discours offensif<br /> contre le Pouvoir dictatoial millitaire… De nos jours, le FFS est effrité, quasiment neutralisé par ces micro-partis crées par le Pouvoir militaire, mais aussi par son option «participationniste»<br /> (aux échéances municipales et législatives des années 90, et d’autres erreurs majeures…… Les militants sincères ont le devoir et sont en droit d’émettre de sévères mises en gardes, ou même des<br /> «sommations» à l’adresse des dirigeants du FFS, qui sont entrain d’adopter un profil bas, un langage mou et doux, une critique maigre, quelques petits mots sur «les modalités de fonctionnement du<br /> Régime», et non une remise en cause du Pouvoir militaire en général et en particulier, globalement et dans le détail, où la nature militaire du pouvoir est escamotée, sa structure clanique non<br /> dite, ses pratiques meurtrières, assassines, criminelles tues. On est en droit de douter, d’émettre des soupçons sur d’éventuels « accords secrets » ou autres conciliabules!
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