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23 mai 2016 1 23 /05 /mai /2016 19:38
Rebrab-Khelil, ce n'est ni un règlement de comptes entre arabes et kabyles ni une guerre entre les Zenata et les Sanhadja.

Par Saïd Radjef.Le 23 mai 2016

Rebrab est un bandit pour qui être kabyle, arabe, Zenata ou Sanhadja ne signifie absolument rien...Il en est de même pour Khelil...Tout ce qui les intéresse, c'est comment piller la République...

Le cartel algérien, au delà de la grande discrétion qui l'entoure et la puissance dont il dispose, n'est pas pour autant organisé et homogène. Et il était à prévoir qu’il montrerait toutes ses faiblesses, toute son ignorance.

Ce n’était qu’une question de temps. Il a ainsi transformé par l'imbrication de circuits au sein de la presse et de la classe politique l'affaire Rebrab en règlements de compte entre kabyles et arabes, l'affaire Khelil en guerre entre les Zenata et les Sanhadja...

Ils nous pillent et ils titillent nos fibres sensibles...Ils ne savent pas a quel point ils mettent en danger le pays...

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commentaires

M
Monsieur AIT BENALI, votre blog nous invite à donner un avis, un commentaire sur un article , sur une opinion, et je considère que Mr RADJEF est amplement méritant d'être le co-rédacteur dans cet espace démocratique. Les idées ou opinions ne peuvent pas être totalement fausses ou totalement justes, mais elles méritent d'être lues et commentées. Je vous souhaite plein succès et bonne continuation. <br /> Pour ma part, c'est avec un plaisir immense d'intervenir quand les conditions le permettent
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A
Bonsoir Mr Mellah! Vos interventions sont toujours les bienvenues. Vous donnez, par la pertinence de vos commentaires, des éclairages nécessaires. Personnellement, j'aimerais bien que vous ayez un espace plus important dans ce modeste blog. Vos contribution sont plus qu'attendues. Si dans mon commentaire précédent j'ai souhaité la réponse de Mr Radjef, c'est pour qu'il y ait un meilleur échange entre vous deux. C'est dans ce sens là que j'ai répondu.
M
Et voilà que votre intervention se "cale" sur l'agenda de ce pouvoir mafieux qui se sert d'un sujet anodin pour en faire tout un projet afin de détourner l'opinion des véritables problèmes, à savoir cette Algérie qui vire dangereusement vers le néant. De crise politique en crise économique sans omettre cette crise sociale avec la recherche , sans cesse , de l'identité Algérienne. De nos jours, le mythe identitaire reste un des énigmes insoluble et indéchiffrable de la crise algérienne. L'intelligentsia est en retrait par rapport à l'espace des défis de la modernité et le peuple est totalement en dehors de la pensée et de ses préoccupations basiques. Le tout échafaudé dans un simulacre jeu de chats à souris. C'est une situation dramatique dans la mesure où «le fantôme du chaos» guette et tracasse inlassablement les esprits de nos citoyens. Les Khelil et les Rebrab ne sont, en fait, que des individus, déguisés en marionnettes, qui ne font que calquer la démarche falacieuse du pouvoir pour un sophisme de composition. Néanmoins , nous pouvons affirmer que ces deux personnages et leurs pratiques reflètent ce faux dilemme que présente ce pouvoir. En d'autres termes, ni l'un , ni l'autre ne représente l solution idoine pour le devenir de notre pays. L. Fedi appelle "dichotomisation interne" le procédé qui consiste à propager la pensée unique sous une forme apparemment conflictuelle, en développant de fausses alternatives ou en convoquant des représentants de différents courants appartenant à une même famille doctrinale. En faussant les lois de la symétrie, le système peut se reproduire à l'infini sans entorse apparente au principe du pluralisme.
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A
Bonsoir Mr Mellah! J'aurais aimé que Said Radjef réponde à votre commentaire. Je vais le lui envoyer sur sa messagerie.

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  • : Blog AIT BENALI Boubekeur
  • : L’école algérienne ne s’est pas attelée, en ce qui concerne l’enseignement de l’histoire, à la transmission du savoir. L’idéologisation de l’école l’a emporté sur les impératifs de la formation. Or, les concepteurs de ces programmes préfèrent envoyer leurs enfants dans des écoles occidentales. Du coup, la connaissance de l'histoire ne passe pas par l'école.
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  • Ait Benali Boubekeur
  • Il est du devoir de chaque citoyen de s’intéresser à ce qui se passe dans son pays. C'est ce que je fais modestement.
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